crash évité de justesse

Un commandant de bord de nationalité turque a réussi à éviter, lundi 16 février aux environs de 14 heures, un crash certain d'un Boeing 737 A 400 de la compagnie Air Algérie sur le tarmac de l'aéroport de Ain Amenas dans la wilaya d'Illizi. L'appareil, en provenance de Constantine, transportait 151 personnes. Sans doute gêné par le vent de sable, il a raté son atterrissage, après plusieurs tentatives, avant de finir sa course à plusieurs dizaines de mètres à l'extérieur de l'unique piste d'atterrissage de l'aéroport.
«A chaque fois qu'il essaye d'atterrir, il remonte pour effectuer une autre tentative », a expliqué à TSA, un témoin joint au téléphone. « Il a failli même toucher l'édifice de l'aéroport. A l'arrêt de l'appareil, une fumée sortait de l'un des réacteurs. Le pilote a été pris en charge par des agents de la protection civile alors que deux personnes ont été prises de malaise », a jouté notre source. Aucun voyageur n'a été blessé.
C'est la deuxième fois qu'un appareil de la compagnie nationale turque affrété par Air Algérie pour le compte de la Direction Production de la société Sonatrach, effectue un atterrissage dangereux sur l'aéroport de Ain Amenas. En mars 2003, un appareil du même type s'était écrasé au décollage à l'aéroport Aguennar de Tamanrasset faisant plus de 100 morts.

salut captain mahmoud

Moi personnelement j`ai pas confiance au pilote turque ,j`ai voyager avec,mais il n`on pas encore porter a une bonne atterissage malgre son longue prescence en algerie,ils ont jamais fait un atterissage douce,des fois tu sens que (landing gear) est defectuer apres leur atterissage .
il faut que air algerie revoir cette situation de ces pilote,comme elle a fait avec les pilote italien.

Vive les pilote algerien

Mahmoud SVP mon frere,essayer de donner la source des information pour plus de culture et recherche

Merci

moi aussi la derniére que j'ai vouyagé a tamanaraset avec un equipage italien le comandant de board a fait une approche terrible il a commencé la decende depus 36000 et la piste était a 10 kilometre . franchment c t'une harda.

affirm. l’approche de DAAT elle es un peux pénible y'a 2 piste avec ILS mais il faut avoir une bonne météo pour ca meme sur le simulateur elle es terrible il faut bien régler le QNH sinon tu va te retrouver 10 pieds sous terre lol
pour info. demain y'a un EVENT sur VATSIM de DAOU to DAAT.

rdv ce soir sur VATSIM Rafik

une fois jai fait lille-alger avec un 737-400 turc, a l'atterrissage, on s'est tous cogné sur le siege devant nous , jen ai meme eu une bosse . sinon jai aussi pris un a 310 turc mais ca s'est mieux passé . et les equipages sont minables i parle pas arabe ni francais , que turc et anglais .

Bonjour à tous le Monde:

Vous savez bien mes amis que la question des atterrissages sa ne dépend pas souvent de la compétence des équipages, mais bien entendu des conditions météorologiques et techniques de l'avion + les pilotes en dernier échelle (en dernier échelle puisque c'est pilotes qui ont des licences et ont ne peut on aucun cas nous les simeurs de remettre en cause leurs licences à cause d'un mauvais atterrissage) selon les règles de l'AFAA (Fédération internationale de l'avion civil) un pilot certifié peut voler dans tous les aéroport du monde, et le BLACKLISTING ca concerne les compagnes pas les pilotes.

Je vous assure mes amis que le meilleurs atterrissage que j'ai fait dans ma vie à ce jour là c'était avec un 737-800W Neos sur la 09 d'ALGER, wALLAH j'ai même sentis si l'avion a vraiment touché le terre. par contre un commandant de bord d'Air Algérie sur Béjaia une fois il m'a presque cassé ma colonne.

Deuxièmement, les aéroports comme celles de CONSTANTINE, SETIF, TAMENRASSET, ILLIZI ... et d'autres sont vraiment très très difficiles pour l'atterrissage comme pour le décollage par le fait de leurs élévations et les conditions de leurs approches.

Les approches du sud d'Algerie ou sur les régions montagneuses ou des terrains accidentés soufferrent de la température élevée et de la déforme la structure de l'air et engendre à des grandes turbulence surtout aux niveau des reliefs de TASSILI, et les arroches de CONSTANTINE. ce qui n'a pas vécu les turbulences du TASSILI, il n'a rien vu, plus que celle de l'Atlantique ou de l'océan indien.

troisièmement, atterrie à SETIF ou à CONSTANTINE ou bien TAMENRASSET avec une hauteur de 3000 ft de la piste sur la mer est chose vraiment dur puisque la pression atmosphérique se baisse à chaque fois et même avec les volets, une petite baisse de vitesse ca provoque un décrochage sur et certain par contre si on simule la même baisse de vitesse en Approche sur ALGER ou ANNABA sur la mer l'avion ne décrocheras jamais de fait que l'air est très très dense aux nivaux de la mer ou aux altitudes de 100 à 600 FT QNF.

Imaginez si un pilot quelconque si deux ou trois de ses problèmes se réunissent lors d'une approche quelconque .... la réponse est à VOUS.

Concernant le crash de 2003. la cause principale demeure au Commandant de bord رحمه الله qui n'a pas cordonnés son Copilote رحمها الله qui était aux commandes et le fait de ne pas suivre la procédure d'urgence l'avion fini par décrocher. UN PROBLÈME DE COORDINATION ainsi que le terrain de tanenrasset a joué un rôle précordiale dans l'accident. Si c'était le même problème de l'avion (panne de moteur) dans les mêmes conditions mais juste en décollant de Béjaia ou de Alger je vous assure que l'avion va se tenir encore plus du temps en l'Air et ne finira jamais à décrocher.

On ne peut pas à chaque fois blâmer les pilotes qui souffrent de telles problèmes et de conditions en essayant de garder l'avion en l'Air ou de faire un KISS LANDING.

Surtout en Algérie, chaque jour les ILS tombent en panne, des défauts de paramétrage, des erreurs dans les Glides Slope et ondes Ghz. des VORs qui s'arrêtent, des filets de sauvegarde qui travaillent lentement, des problèmes de RADIO Navigation.... etc nonobstant les problèmes de langues et erreurs de calcule de MASSE.

Cordialement AHMED.